Bestiarius Tome 1 - Masasumi Kakizaki


« Je sais me battre … quand c’est pour ma famille ! »





Edition: Kaze Auteur: Masasumi Kakizaki

Résumé:
1er siècle après Jésus-Christ, l’Empire romain est à son apogée et ses légions soumettent une à une les dernières contrées où monstres et humains vivent encore en paix. Criminels, innocents, orphelins, demi-humains, wyvernes... Tous constituent les rangs d’esclaves guerriers jetés dans l’arène et forcés de s’entretuer pour divertir l’empereur Domitien et les Romains avides de sang. Parmi ces combattants se trouvent des gladiateurs qui affrontent fauves et créatures légendaires : on les appelle les “Bestiarii”. Or, certains d’entre eux, comme Finn ou Zénon, ont été élevés aux côtés de ceux qui, aux yeux de Rome, ne sont que de simples bêtes, et ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l’Empire tout entier !
J’avais hâte de découvrir ce premier tome de ce Shonen (il me faisait souvent de l’œil sur les présentoirs). Le style à première vue est particulier des dessins très minutieux avec une histoire peu commune. On nous présente d’abord le personnage de Finn élevé par Durandale la Wyverne. Ce jeune homme nous met directement dans l’action avec un combat sanglant. Puis dans une deuxième partie, nous faisons connaissance de Zénon un héro de l’Arène et de son frère Talos le Minotaure.
Ces quatre protagoniste nous plonge dans un univers très décalé : On y découvre une Rome Antique à son apogée accompagné de ses « Bestirari » tous aussi impressionnant les uns que les autres.
J’ai tout de suite apprécié cet univers un peu décalé mélangeant les mythes et les réalités des arènes. Les personnages sont pleins de principes et caractères, rendant l’histoire plus poignante. On prend rapidement parti à la cause des quatres héros. Concernant le déssin, c’est tout simplement titanesque : un niveau de détail impressionnant en parfaite harmonie avec le texte et les émotions. Le dessin est tellement complexe que j’ai relu avec plaisir une deuxième fois le Shonen en ne regardant que les déssins.
Ce tome I est bestialement puissant !

Commentaires

Articles les plus consultés